« Nous construisons aujourd’hui les succès de demain, assure Nathalie Bicais. Pour cela, les dispositifs de mobilités européenne (NDLR : la capitale de Dublin, ci-dessus en photo) et internationale apportent à la fois à nos jeunes une formation et une ouverture sur le monde ». Le maire, par ailleurs vice-président du Conseil départemental en charge des études supérieures, a rappelé les réalisations seynoises en la matière : « Le Campus connecté est désormais accessible espace Danielle-Casanova, et nos quartiers Politique de la Ville bénéficient du dispositif Cités de l’emploi ».
Pour le Conseil régional, Benoît Garrigues a rappelé que la Région était le point d’entrée du réseau européen en matière de financements : « C’est une volonté du président Renaud Muselier. Les fonds européens disponibles (FEDER, FSE, Euroméditerranée…) pour la région vont passer de 5 à 10 milliards d’euros d’ici 2030 », annonce-t-il avant d’égréner les programmes d’échanges de la Région Sud-Paca : les programmes Maritima avec l’Italie, Alpotra aves les Etats de l’arc alpin, sans oublier Life pour l’environnement et Erasmus pour les études.
S’adressant aux associations et institutions seynoises, Adélaïde Lerendu, chargée de mission chez Euro-Circle, a rappelé que dans le cadre d’Erasmus + « l’Union européenne débloquait 26 milliards d’Euros à l’attention des structures primo-demandeurs de fonds ».
Pour cela, les dossiers déposés doivent mener l’une de ces actions clés : « La mobilité des individus, les projets de coopération, ou soutenir la réforme des politiques publiques ». Le tout dans le respect de priorités : « L’inclusion et la diversité, l’environnement, la transformation numérique ou la participation à la vie démocratique ».
A noter que 33 pays participent à Erasmus +, puisqu’en sus des états de l’Union européenne, ceux du pourtour méditerranéen et des Balkans sont concernés.