« A Beaussier, nous avons, avec la conseillère régionale Sandra Kuntz, alerté sur les problèmes de sécurité du parvis. A Langevin, vous pourrez également compter sur nous ». Accueillie par Christine Bartak, proviseure du lycée polyvalent Paul Langevin, Nathalie Bicais, maire de La Seyne, avait à coeur de se rendre sur site. « Chaque fin de journée, les parents d’élèves stationnent sur le parvis, devant le portail d’accès des professeurs. C’est très dangereux au milieu des mouvements de scooters et de bus », relève Christine Bartak. Au côté du maire, le directeur de la Sûreté urbaine indique à la cheffe d’établissement que « la Ville pouvait, sur demande, dépêcher des agents de la brigade anti-incivilités aux heures de pointe ». Cédric Landreau a par ailleurs annoncé l’installation prochaine d’une caméra de vidéoprotection par les services techniques sur le parvis du lycée Langevin. « Elle sera reliée au Centre de commandement opérationnel et permettra de réagir en direct en cas de stationnements intempestifs. En outre, la Métropole sera sollicitée pour étudier les améliorations possibles afin de sécuriser les lieux en terme de circulation.»
Lors de la visite des ateliers (voir ci-dessous), Nathalie Bicais a pu observer le sérieux et la qualité des travaux réalisés par les lycéens. Des pistes de réflexion ont même été évoquées pour développer des partenariats de réalisation entre la ville et le lycée Langevin.
Christine Bartak a ensuite tenu à signaler l’occupation illégale des préfabriqués de l’ancien collège Wallon (NDLR : rétrocédés à la Ville depuis 2019), attenants au lycée. Soucieuse de la sécurisation des abords, Madame le Maire a rappelé sa volonté de requalification du site. Un programme privé devrait être étudié dans les prochains mois et ainsi permettre une mise en valeur du voisinage du lycée. Enfin, Madame la proviseure a eu l’occasion d’indiquer à Nathalie Bicais que la rectrice serait présente le 7 avril prochain pour un évènement autour du sport. Le maire a pris soin de vérifier auprès des équipes que les infrastructures sportives à proximité seraient mises à disposition autant que de besoin.
