Petite enfance et jeunesse : la CTG renouvelée pour trois ans

Dans le cadre du renouvellement de la Convention territoriale globale (CTG) de 2023 à 2026, les représentants de l’État, de la CAF, de la Métropole et de la Ville étaient réunis en salle du conseil municipal le 9 mars dernier.

« Pendant quatre ans, nous avons eu à coeur de conforter l’offre destinée aux enfants, aux jeunes et aux familles », commence Cheikh Mansour. « Les nouveaux dispositifs de Cité éducative, Cité de l’emploi, Campus connecté ou Micro-folies découlent de la précédente Convention territoriale globale. Celle que nous préparons aujourd’hui répondra pareillement à des enjeux locaux forts. » Et l’adjoint à la Politique de la Ville de citer « l’augmentation de l’offre petite enfance et de déploiement sur les secteurs non couverts comme le centre-ville, le maintien de la richesse de l’offre éducative et de qualification des encadrants, de réponses nouvelles à la jeunesse et aux parents d’adolescents, de nouveaux lieux ressources dédiés à la famille, de meilleure articulation et de nouveaux partenariats avec nos acteurs locaux associatifs. »

Le directeur de la CAF du Var, Julien Orlandini, a rappelé que « chaque Convention territoriale globale (CTG) part d’un diagnostic local établi avec les habitants, les associations et les collectivités » : « Il s’agit d’établir une cohérence avec le CTG métropolitain, mais également avec les dispositifs de Contrat de ville ou de Contrat local de santé, en identifiant et ciblant les priorités, pour plusieurs années, pour la petite enfance et la jeunesse de La Seyne-sur-Mer ».

Nadine Giraud, déléguée du préfet du Var, s’est félicitée que « les dispositifs de Cité éducative et de Cité de l’emploi soient pleinement intégrés à la CTG. »

Adjointe à la santé, Sophie Robert a remarqué que « l’éducation à la nutrition et au sport, dès la petite enfance, est le seul rempart à la hausse du taux d’obésité. » Valérie Guittienne, conseillère déléguée au handicap, a pour sa part plaidé « pour plus d’inclusion, que ce soit dans les domaines de l’éducation, de l’emploi ou du bien vieillir ». Véronique Leportois a fait part d’un constat : « Au CCAS, la demande de secours alimentaire croît avec le phénomène d’inflation des prix. On pallie au plus urgent avec les associations ». Concernant sa délégation à la restauration scolaire, l’adjointe aux affaires sociales a noté que « la hausse des coûts de l’énergie comme des denrées alimentaires est un autre challenge ».

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